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Lettre d'information

Entreprendre à l’international. L’écueil du droit français relatif au « travail dissimulé »

Dans le monde contemporain de l’entrepreneuriat international, un nombre croissant de commerçants, qui planifient leur activité au vu des normes posées par le droit des affaires, sans souhaiter embaucher de salariés en France (et, par conséquent, sans se soucier des normes légales propres au droit français du travail), se trouvent pris au piège d’une réglementation qu’ils pensent, de prime abord, ne pas avoir à prendre en compte.

Par Liliana Bakayoko, Avocat, Président de l’AAF

Septembre 2019

La notion de « travail dissimulé » prête habituellement à confusion parmi les non juristes, au point qu’un nombre important d’entrepreneurs concernés considèrent à tort qu’elle ne peut trouver, par essence, matière à s’appliquer qu’à des situations substantiellement très différentes des leurs : dans l’esprit du justiciable non averti, le « travail dissimulé » évoque l’hypothèse relativement marginalisée dans laquelle un employeur fait travailler clandestinement un salarié, pour pouvoir l’exploiter sans avoir à payer de charges sociales. Régi par le Code du travail (art. L. 8221-1 s.), le « travail dissimulé » semble en effet, de prime abord, ne devoir concerner que les personnes qui sont censées être liées par un contrat de travail. Or, il s’agit en réalité d’une notion englobant un nombre hétéroclite d’hypothèses de manquement à des obligations d’officialisation assortissant une activité économique, dont la plupart ne relèvent aucunement du droit du travail proprement dit (lequel régit les relations entre employeur et salarié) : le travail dissimulé recouvre non seulement l’hypothèse où un employeur omet intentionnellement de remplir des obligations déclaratives ou des obligations de délivrance de documents liés à un contrat de travail, mais aussi toutes les hypothèses dans lesquelles une personne exerce une activité économique en se soustrayant intentionnellement à certaines de ses obligations d’officialisation, telles l’obligation de demander son immatriculation au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers, l’obligation d’effectuer des déclarations fiscales ou sociales, ou l’obligation de ne pas se prévaloir de manière illégitime des dispositions relatives au détachement de salariés.

L’exigence du caractère intentionnel de la commission de l’infraction ne constitue qu’un rempart relatif face à la répression, en la matière, car la caractérisation du caractère intentionnel de la dissimulation relève de l’appréciation souveraine des juges du fond (Cass. Soc. 14 octobre 2015, n° 14-12.193). Qui plus est, même en l’absence d’élément intentionnel, la personne qui enfreint les normes visées par la réglementation relative au travail dissimulé peut être condamnée pour fraude fiscale, fraude aux déclarations sociales ou violation des règles relatives à l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés, ou au répertoire des métiers.

La gravité des sanctions encourues aurait dû inciter le législateur à rendre la matière plus abordable, de manière à éviter aux justiciables les surprises liées à la transgression, par manque d’information, d’une réglementation « dissimulée » de manière inappropriée au sein, pour l’essentiel, du seul Code du travail : le travail dissimulé est un délit, réprimé principalement par des peines d’emprisonnement et d’amende ; les peines complémentaires encourues incluent l’interdiction d’exercer une activité professionnelle et/ou une profession commerciale ou industrielle, l’interdiction des droits civiques, civils et de famille, ainsi que (pour les étrangers) l’interdiction du territoire français pour une durée de cinq ans au plus.

En réalité, en complément à la rationalisation de l’ampleur de la répression (par instauration d’une exigence d’établissement du caractère intentionnel de la dissimulation), il aurait mieux valu aussi cibler sur une tactique de prévention accentuée, impliquant une meilleure accessibilité (et, par-delà, une meilleure intelligibilité) de la réglementation, en ce domaine : dans la pratique, du point de vue de l’entrepreneuriat international, la répression du travail dissimulé concerne davantage le droit des affaires que le droit du travail.

Le problème du manque de correspondance entre le positionnement de la réglementation de base, en la matière (incorporée au Code du travail), et les réalités existentielles qu’elle est censée régir croît au fil des ans, pour deux raisons : d’une part, cette réglementation ne fait que s’étoffer avec le temps, en englobant de nouvelles hypothèses d’activités économiques non directement liées au droit du travail proprement dit ; d’autre part – en parallèle – sous l’impulsion du phénomène de mondialisation économique (emportant multiplication des échanges et des interactions humaines), la répression du travail dissimulé prend de plus en plus souvent de court un nombre croissant des justiciables, qui entreprennent à l’international. Elle pèse comme une épée de Damoclès, « dissimulée » au sein de la réglementation spéciale du droit du travail, aussi bien sur les personnes qui entreprennent à l’étranger, depuis la France (I.), que sur celles qui entreprennent en France, depuis l’étranger (II.).

 

I. L’écueil du « travail dissimulé » en cas d’entrepreneuriat à l’étranger, depuis la France

Les personnes qui entreprennent à l’étranger depuis la France considèrent souvent que le droit français relatif au travail dissimulé ne peut trouver matière à s’appliquer à leur activité exercée à l’étranger, pour la simple raison que cette activité n’est, justement, pas exercée en France. Une telle erreur se révèle parfois être lourde de conséquences.

Parmi les multiples hypothèses rencontrées dans la pratique, pouvant donner matière à condamnation pour travail dissimulé, il convient de relever celles dans lesquelles une société immatriculée en France, qui crée une filiale dans un autre État membre de l’Union européenne, sélectionne, soit un gérant (A.), soit un prestataire de services (B.), censé œuvrer auprès de cette dernière.

 

A. La société immatriculée en France qui sélectionne un gérant pour sa filiale établie à l’étranger : possible hypothèse de complicité de travail dissimulé par dissimulation d’emploi salarié

Les entreprises françaises ayant une activité internationale sont souvent amenées à constituer des filiales dans d’autres États membres de l’Union européenne. Il n’est pas rare qu’au stade de la sélection du gérant d’une telle filiale, la société mère établie en France choisisse de faire nommer un de ses salariés en tant que gérant de la filiale étrangère : elle s’assure ainsi un double contrôle de l’activité de sa filiale, étant à la fois associé majoritaire (ou associé unique) de cette dernière, et employeur (en France) de son gérant.

En raison du contrat de travail qui le lie à la société mère, le gérant de la filiale étrangère continue habituellement à résider en France. Il y déclare ses revenus perçus à l’étranger en tant que gérant, et il paie l’ensemble de ses impôts en France.

Pour sa part, la filiale immatriculée à l’étranger y déclare habituellement le contrat de gestion et paie sur place les charges sociales correspondantes.

Pourtant, cette filiale étrangère est, en réalité, soumise à des obligations de déclaration et de versement de cotisations et de contributions en vertu de la loi française : en application de l’art. 13, al. 1, p. a) du Règlement (CE) n° 883/2004 du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 portant sur la coordination des systèmes de sécurité sociale, c’est la législation française qui doit régir les questions relatives au paiement des cotisations sociales dues au titre du contrat de gestion conclu entre le salarié de la société mère (en tant que gérant) et la filiale établie à l’étranger. Il en va ainsi indépendamment du point de savoir si la filiale étrangère possède un établissement stable en France ou non (compte tenu du fait que le gérant de la filiale étrangère réside en France, l’hypothèse de fraude à l’établissement pourrait d’ailleurs aussi être caractérisée, en la matière).

En cas de non-respect des obligations déclaratives imposées en France à la filiale étrangère, la condamnation pour travail dissimulé par dissimulation d’emploi salarié (ou, pour le moins (en cas de dissimulation non intentionnelle) pour fraude aux déclarations sociales) devient possible : le gérant de la filiale étrangère devrait être assimilé à un gérant salarié, car il est salarié de la société mère, qui détient le contrôle majoritaire de la filiale étrangère (ceci le place dans un lien de subordination avec la filiale étrangère). Le risque éventuel de condamnation, cette fois-ci pour complicité de travail dissimulé (ou, pour le moins, pour complicité de fraude aux déclarations sociales), s’étend aussi sur la société mère établie en France (celle-ci ayant été à l’origine de la conclusion du contrat de gestion entre sa filiale étrangère et son employé résidant en France).

La sélection par la société mère d’un prestataire de services censé intervenir auprès de la filiale étrangère emporte, pour sa part, des risques de condamnation pour travail dissimulé par dissimulation d’activité.

B. La société immatriculée en France qui sélectionne un prestataire de services pour sa filiale établie à l’étranger : possible hypothèse de complicité de travail dissimulé par dissimulation d’activité

Pour les besoins de la formation continue du personnel de la filiale étrangère ou, plus généralement, par souci d’harmonisation de certaines méthodes de travail au sein d’un même groupe de sociétés, les entreprises françaises sont souvent amenées à faire conclure des contrats de prestation de services entre un ou plusieurs de leurs salariés et leurs filiales étrangères. En raison du contrat de travail qui le lie à la société mère, le prestataire de services continue habituellement à résider en France, ne se déplaçant qu’occasionnellement dans le pays d’immatriculation de la filiale étrangère. Il déclare en France ses revenus perçus à l’étranger en tant que prestataire de services, et il paie l’ensemble de ses impôts en France.

Pourtant, ce prestataire de services missionné par la société mère auprès de la filiale étrangère est, en réalité, soumis à des obligations de déclaration et de versement de cotisations en vertu de la loi française : en application de l’art. 13, al. 3 du Règlement (CE) n° 883/2004 du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 portant sur la coordination des systèmes de sécurité sociale, c’est la législation française qui doit régir les questions relatives au paiement des cotisations sociales dues au titre du contrat de prestations de services conclu entre le salarié de la société mère (en tant que prestataire) et la filiale établie à l’étranger. Il y a plus : en droit français, l’activité exercée par le prestataire de services auprès de la filiale étrangère présente les caractéristiques d’une activité libérale indépendante. Cette activité étant cumulée avec un emploi salarié au sein de la société mère, les cotisations sont en principe dues, en France, au titre des deux régimes de protection sociale. En ce qui concerne la retraite, la double affiliation, en France, est également obligatoire, ainsi que le versement de cotisations auprès des deux régimes correspondants.

Par ailleurs, comme le prestataire exerce son activité au titre du contrat de prestations de services en son nom propre, en droit français il revêt la qualité d’entrepreneur individuel. Si son chiffre d’affaires annuel ne dépasse pas, pour une année civile complète, le plafond de 70 000 €, il peut opter pour le statut de la micro-entreprise (dénommée aussi auto-entreprise). Il s’agit alors d’une activité annexe d’auto entreprise, exercée en complément au statut de salarié au sein de la société mère. Il doit déclarer cette activité d’auto-entrepreneur auprès du Centre de Formalité des entreprises. Il doit aussi déclarer son chiffre d’affaires, soit mensuellement, soit trimestriellement (selon l’option choisie). Si le plafond de 70 000 € de chiffre d’affaires est dépassé pour deux années consécutives, le prestataire passe au régime de l’entreprise individuelle (si le plafond est dépassé dès la première année d’activité, le calcul du chiffre d’affaires est effectué prorata temporis – en fonction de la date de création de l’entreprise -).

En cas de non-respect des obligations déclaratives posées par le droit français, la condamnation pour travail dissimulé par dissimulation d’activité (ou, pour le moins (en cas de dissimulation non intentionnelle) pour fraude aux déclarations sociales, ou fraude fiscale) devient possible. Le risque éventuel de condamnation, pour complicité de travail dissimulé (ou, pour le moins, pour complicité de fraude aux déclarations sociales, ou complicité de fraude fiscale), s’étend aussi sur la société mère établie en France (celle-ci ayant été à l’origine de la conclusion du contrat de prestations de services entre sa filiale étrangère et son employé résidant en France).

A l’instar de leurs homologues établis en France, les personnes qui entreprennent en France depuis l’étranger doivent aussi veiller, de manière particulière, à ne pas enfreindre les normes relatives au travail dissimulé.

 

II. L’écueil du « travail dissimulé » en cas d’entrepreneuriat en France, depuis l’étranger

Les entrepreneurs étrangers qui exercent une activité en France sont parfois d’autant plus surpris par la réglementation relative au travail dissimulé qu’ils interprètent cette notion de manière littérale, au vu du sens strict de la signification, en langue française, des mots qui la composent. Les avocats spécialisés sont habitués à cette réalité du terrain, qui implique que, dans l’esprit de la plupart des entrepreneurs étrangers, le fait d’avoir déclaré leur activité en France devrait exclure, pour ce qui les concerne, toute hypothèse possible de travail dissimulé : pour l’étranger non averti, l’officialisation quelconque de l’activité exclut, par définition même, la « dissimulation ». Cette erreur d’acception mène souvent à un engrenage de problèmes multiples, tels ceux résultant de l’hypothèse où, après réception d’une lettre d’avertissement de l’administration française, qui le somme de mettre fin à une situation qualifiée par l’autorité publique comme correspondant à un cas de travail dissimulé, l’intéressé – parfois, en toute bonne foi – considère qu’il y a manifestement erreur, au point qu’il refuse d’obtempérer, sans même se donner la peine de consulter un avocat. Ce refus de régularisation de la situation (parfois commis par simple mécompréhension d’une notion qui, il est vrai, porte relativement mal son nom) peut par la suite servir d’élément de preuve du caractère intentionnel de la « dissimulation », bouclant ainsi la boucle du travail dissimulé assorti de condamnations pénales.

En réalité, pour éviter d’être condamné pour travail dissimulé, l’entrepreneur étranger (tout comme son homologue français) ne peut se contenter de déclarer de manière quelconque son activité économique exercée en France : il doit procéder avec minutie aux déclarations requises par la loi française. Parmi les multiples hypothèses pouvant poser problème, pour cause (pour le moins) de manque de minutie, en la matière, il convient de considérer de plus près le cas où la caractérisation de l’infraction de travail dissimulé résulte de l’application des règles générales de rattachement territorial régissant l’imposition des bénéfices (A.) et celui où l’infraction est déduite de l’application des normes spéciales propres au détachement de salariés (B.).

A. Le travail dissimulé caractérisé sur fond d’application des règles générales de rattachement territorial, aux fins d’imposition de bénéfices

Parmi les notions juridiques qui font office de critères de rattachement territorial aux fins d’imposition de bénéfices, les notions d’« exploitation », d’« établissement stable » et de « siège de direction effective » sont les plus usitées. Définie par le Conseil d’État, pour les cas où aucune convention internationale relative aux doubles impositions ne trouverait matière à s’appliquer, la notion d’entreprise exploitée en France permet d’imposer en France tout profit résultant de l’exercice habituel, sur le territoire français, d’une activité qui constitue l’aboutissement d’opérations formant un cycle commercial complet, ou d’une activité qui est exercée, soit dans le cadre d’un établissement autonome, soit – à défaut – par l’intermédiaire d’un représentant sans personnalité professionnelle indépendante. Utilisée dans les conventions internationales signées par la France, la notion d’établissement stable est, pour sa part, définie, entre autres, par l’art. 5 de la convention modèle OCDE comme correspondant à une installation fixe d’affaire, par l’intermédiaire de laquelle une entreprise exerce tout ou partie de son activité. Elle permet aussi d’imposer en France les profits résultant d’une activité initialement présentée à tort par les intéressés comme étant exercée à l’étranger. Quant à la notion de siège de direction effective, elle est utilisée par la jurisprudence française aux fins d’imposition en France de sociétés étrangères fictives : selon le Conseil d’État, le siège de direction effective est le « lieu où les personnes exerçant les fonctions les plus élevées prennent les décisions stratégiques qui déterminent la conduite des affaires de cette entreprise dans son ensemble » (Conseil d’État, 10ème et 9ème ssr, 16/04/2012, 323592).

Ainsi, un représentant permanent envoyé en France, un dirigeant social résidant en France, un chantier de construction situé en France ou la réalisation d’opérations d’achat et de revente en France constituent autant d’exemples possibles d’application des critères de rattachement d’une entreprise étrangère au territoire français, aux fins d’imposition.

Par-delà même du rattachement territorial, il s’agit aussi d’autant de fondements possibles d’assujettissement d’entreprises étrangères à des obligations déclaratives et/ou à des obligations d’immatriculation en France. Comme les manquements à ces obligations peuvent être qualifiés de « dissimulations » (au sens des art. L. 8221-1 s. du Code du travail), les notions d’exploitation, d’établissement stable et de siège de direction effective peuvent aussi faire office d’éléments de caractérisation d’infractions de travail dissimulé, faisant encourir des condamnations pénales correspondantes.

Lorsqu’une entreprise étrangère pratique le détachement de salariés en France, le recours aux critères traditionnels de rattachement territorial n’est parfois même plus nécessaire pour emporter une condamnation pour travail dissimulé.

 

A. Le travail dissimulé caractérisé sur fond d’application des règles générales de rattachement territorial, aux fins d’imposition de bénéfices

La loi dite « Avenir professionnel » (loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018) a instauré une nouvelle hypothèse de travail dissimulé, désormais consacrée au 3° de l’art. L. 8221-3 du Code de travail : est réputé travail dissimulé par dissimulation d’activité l’exercice d’une activité économique par une personne qui, se soustrayant intentionnellement à ses obligations, « s’est prévalue des dispositions applicables au détachement de salariés lorsque l’employeur de ces derniers exerce dans l’Etat sur le territoire duquel il est établi des activités relevant uniquement de la gestion interne ou administrative, ou lorsque son activité est réalisée sur le territoire national de façon habituelle, stable et continue ».

Ainsi, l’entrepreneur établi à l’étranger qui détache des salariés en France, mais qui n’exerce dans son État d’établissement aucune activité de production, de transformation, de réparation ou de prestation de services, ou n’y accomplit aucun acte de commerce à titre habituel, peut être poursuivi pour travail dissimulé. Il en va de même de l’entrepreneur établi à l’étranger qui détache des salariés en France, tout en réalisant de façon habituelle, stable et continue une activité sur le territoire français.

Les agences d’intérim immatriculées à l’étranger qui recourent régulièrement au détachement de salariés en France font partie des personnes visées par cette nouvelle réglementation répressive. Les entreprises utilisatrices établies en France encourent d’ailleurs également les mêmes peines, car en vertu des art. L. 8221-1, 3° et L. 8224-1 s. du Code du travail, les sanctions applicables au travail dissimulé s’étendent à ceux qui recourent « sciemment, directement ou par personne interposée, aux services de celui qui exerce un travail dissimulé ».

 

Conclusion

Contrôles croisés de l’Inspection du travail, de la Direction générale des finances publiques, de l’URSSAF et des Directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation et de l’emploi, interventions du préfet, en tant que chef de service auprès du Service interministériel d’animation des politiques publiques… en amont même de l’épée de Damoclès de la condamnation pénale, la suspicion d’une transgression des normes du Code du travail régissant le travail dissimulé est de nature à désorganiser en soi l’activité entière d’une entreprise, obligeant celle-ci à des restructurations globales, voire à une cessation complète d’activité.

La résolution du problème lié au manque de correspondance entre le positionnement formel de la réglementation de base, en la matière (centrée sur le Code du travail), et les réalités existentielles qu’elle aspire à régir devrait impliquer un meilleur recentrage des dispositions légales sur le droit des affaires, par incorporation appropriée au Code de commerce – pour le moins sous forme de législation par référence -. Elle devrait aussi impliquer une rationalisation au niveau de la conceptualisation même des réalités appréhendées : le concept d’ « activité économique non déclarée » pourrait en effet remplacer avantageusement celui de « travail dissimulé par dissimulation d’activité » (la notion de « travail dissimulé » devant voir son domaine réduit à la seule hypothèse dite du « travail dissimulé par dissimulation d’emploi salarié »). De tels changements seraient profitables non seulement aux entrepreneurs concernés, mais aussi à la société dans son ensemble : l’amélioration de l’accessibilité et de l’intelligibilité de la réglementation répressive emporte en effet amplification de son effet dissuasif et, par là-même, réduction du nombre d’infractions, et du nombre d’hypothèses pouvant donner matière à des suspicions d’infractions ; elle induit ainsi également une baisse du nombre de contrôles. Une telle amélioration normative pourrait contribuer de manière non négligeable à la réduction des dépenses publiques.

Dans tous les cas, et surtout en l’absence de réglementation plus abordable, le recours à un avocat avisé, au stade de la planification même de l’activité d’entrepreneuriat international, est de nature à éviter bien des problèmes.

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  • Données vocales (enregistrements audios)
  • Traitement :sauvegarder via un répondeur automatique un message en cas d’absence ou indisponibilité d’une ligne ou standard téléphonique, afin d’être rappelé par la personne concernée.
  • Données financières en rapport avec des devis, commandes et ventes réalisées via le site
  • Traitement : gérer et assurer la traçabilité des prestations et services commandés par les Utilisateurs.

Toutes les données sont conservées pendant une période maximale de 12 mois après la collecte ou le terme de la relation contractuelle entre l’Utilisateur et l’Éditeur.
Maître Liliana Bakayoko ne commercialise pas les Données Personnelles qui sont uniquement utilisées par nécessité, au regard des traitements décrits ci-dessus et occasionnellement, à des fins d’analyse statistique globale.

6.3 Droit d’accès, de rectification et d’opposition

Conformément à la réglementation européenne en vigueur, les Utilisateurs du site https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ disposent des droits suivants :

  • Droit d’accès (article 15 RGPD) et de rectification (article 16 RGPD), de mise à jour, de complétude des données des Utilisateurs, droit de verrouillage ou d’effacement des données des Utilisateurs à caractère personnel (article 17 du RGPD), lorsqu’elles sont inexactes, incomplètes, équivoques, périmées, ou dont la collecte, l’utilisation, la communication ou la conservation est interdite
  • Droit de retirer à tout moment un consentement (article 13-2c RGPD)
  • Droit à la limitation du traitement des données des Utilisateurs (article 18 RGPD)
  • Droit d’opposition au traitement des données des Utilisateurs (article 21 RGPD)
  • Droit à la portabilité des données que les Utilisateurs auront fournies, lorsque ces données font l’objet de traitements automatisés fondés sur leur consentement ou sur un contrat (article 20 RGPD)
  • Droit de définir le sort des données des Utilisateurs après leur mort et de choisir à qui l’Éditeur devra communiquer (ou non) ses données à un tiers qu’il aura préalablement désigné

Dès que l’Éditeur a connaissance du décès d’un Utilisateur et à défaut d’instruction de sa part, il s’engage à détruire ses données, sauf si leur conservation s’avère nécessaire à des fins probatoires ou pour répondre à une obligation légale.
Si l’Utilisateur souhaite savoir comment l’Éditeur utilise ses Données Personnelles, demander à les rectifier ou s’opposer à leur traitement, il peut contacter par écrit le Délégué à la Protection des Données (DPO), à l’adresse suivante :
Maître Liliana Bakayoko – DPO – [ID]  11 Boulevard de Sébastopol, 75001 Paris
Dans son courrier, l’Utilisateur devra indiquer les Données Personnelles qu’il souhaite corriger, mettre à jour ou supprimer, en s’identifiant précisément avec une copie d’une pièce d’identité (carte d’identité ou passeport).
Les demandes de suppression de Données Personnelles seront soumises aux obligations qui sont imposées par la loi, notamment en matière de conservation ou d’archivage des documents. Enfin, les Utilisateurs peuvent déposer une réclamation auprès des autorités de contrôle, et notamment de la CNIL (https://www.cnil.fr/fr/plaintes).

6.4 Non-communication des données personnelles

L’Éditeur s’interdit de traiter, héberger ou transférer les Informations collectées sur ses Clients vers un pays situé en dehors de l’Union européenne ou reconnu comme « non adéquat » par la Commission européenne sans en informer préalablement le client. Pour autant, il reste libre du choix de ses sous-traitants techniques et commerciaux à la condition qu’ils présentent les garanties suffisantes au regard des exigences du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD : n° 2016-679).
L’Éditeur s’engage à prendre toutes les précautions nécessaires afin de préserver la sécurité des Informations et notamment qu’elles ne soient pas communiquées à des personnes non autorisées. Cependant, si un incident impactant l’intégrité ou la confidentialité des Informations du Client est portée à sa connaissance, l’Éditeur devra informer le Client dans les meilleurs délais et lui communiquer les mesures de corrections prises. Par ailleurs, le site ne collecte aucune « données sensibles ».
Les Données Personnelles de l’Utilisateur peuvent être traitées par des filiales de l’Éditeur et des sous-traitants (prestataires de services), exclusivement afin de réaliser les finalités de la présente politique.
Dans la limite de leurs attributions respectives et pour les finalités rappelées ci-dessus, les principales personnes susceptibles d’avoir accès aux données des Utilisateurs du site https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ sont principalement les personnes rattachées aux services direction, administratif et commercial.

Notification d’incident

Quels que soient les efforts fournis, aucune méthode de transmission sur Internet et aucune méthode de stockage électronique n’est complètement sûre. L’Éditeur ne peut pas, en conséquence, garantir une sécurité absolue. S’il prend connaissance d’une brèche de la sécurité, il avertira les Utilisateurs concernés afin qu’ils puissent prendre les mesures appropriées. Les procédures de notification d’incident tiennent compte des obligations légales, qu’elles se situent au niveau national ou européen. L’Éditeur s’engage à informer pleinement les clients de toutes les questions relevant de la sécurité de leurs données et à leur fournir toutes les informations nécessaires pour les aider à respecter leurs propres obligations réglementaires en matière de reporting.
Aucune information personnelle de l’Utilisateur n’est publiée à son insu, échangée, transférée, cédée ou vendue sur un support quelconque. Seule l’hypothèse du rachat du site https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ et de ses droits permettrait la transmission desdites informations à l’éventuel acquéreur qui serait, à son tour, tenu de la même obligation de conservation et de modification des données vis à vis de l’Utilisateur du site.

Sécurité

Pour assurer la sécurité et la confidentialité des Données Personnelles, l’Éditeur et l’hébergeur du site utilisent des réseaux sécurisés par des dispositifs standards tels que les pare-feux, la pseudonymisation, l’encryption, sans oublier la protection par mot de passe.
Lors du traitement des Données Personnelles, Maître Liliana Bakayoko prend toutes les mesures raisonnables visant à les protéger contre toute perte, utilisation détournée, accès non autorisé, divulgation, altération ou destruction.

8. Liens hypertextes « cookies » et balises (“tags”) Internet

Le site https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ est susceptible de contenir un certain nombre de liens hypertextes vers d’autres sites. Cependant, l’Éditeur n’a pas la possibilité de vérifier le contenu des sites ainsi visités et n’assumera, en conséquence, aucune responsabilité de ce fait.

8.1. « COOKIES »

Un « Cookie » est un petit fichier d’information envoyé sur le navigateur de l’Utilisateur et enregistré au sein du terminal de l’Utilisateur (ordinateur, tablette, téléphone portable).
Ce fichier comprend des informations telles que le nom de domaine de l’Utilisateur, le fournisseur d’accès Internet de l’Utilisateur, le système d’exploitation de l’Utilisateur, ainsi que la date et l’heure d’accès. Les Cookies ne risquent en aucun cas d’endommager le terminal de l’Utilisateur.
L’Éditeur est susceptible de traiter les informations de l’Utilisateur concernant sa visite sur le site, telles que les pages consultées, les recherches effectuées. Ces informations permettent d’améliorer le contenu du site, de la navigation de l’Utilisateur.
Les Cookies facilitant la navigation et/ou la fourniture des services proposés par le site, l’Utilisateur peut configurer son navigateur pour qu’il lui permette de décider s’il souhaite ou non les accepter de manière à ce que des Cookies soient enregistrés dans le terminal ou, au contraire, qu’ils soient rejetés, soit systématiquement, soit selon leur émetteur. L’Utilisateur peut également configurer son logiciel de navigation de manière à ce que l’acceptation ou le refus des Cookies lui soient proposés ponctuellement, avant qu’un Cookie soit susceptible d’être enregistré dans son terminal. L’Éditeur informe l’Utilisateur que, dans ce cas, il se peut que les fonctionnalités de son logiciel de navigation ne soient pas toutes disponibles.
Si l’Utilisateur refuse l’enregistrement de Cookies dans son terminal ou son navigateur, ou si l’Utilisateur supprime ceux qui y sont enregistrés, l’Utilisateur est informé que sa navigation et son expérience sur le site peuvent être limitées. Cela pourrait également être le cas lorsque le site ou l’un de ses prestataires ne peut pas reconnaître, à des fins de compatibilité technique, le type de navigateur utilisé par le terminal, les paramètres de langue et d’affichage ou le pays depuis lequel le terminal semble connecté à Internet.
Le cas échéant, l’Éditeur décline toute responsabilité pour les conséquences liées au fonctionnement dégradé du site et des services éventuellement proposés, résultant soit du refus de Cookies par l’Utilisateur soit de l’impossibilité pour le site d’enregistrer ou de consulter les Cookies nécessaires à leur fonctionnement du fait du choix de l’Utilisateur. Pour la gestion des Cookies et des choix de l’Utilisateur, la configuration de chaque navigateur est différente. Elle est décrite dans le menu d’aide du navigateur, qui permettra de savoir de quelle manière l’Utilisateur peut modifier ses souhaits en matière de Cookies.
À tout moment, l’Utilisateur peut faire le choix d’exprimer et de modifier ses souhaits en matière de Cookies. L’Éditeur pourra, en outre, faire appel aux services de prestataires externes pour l’aider à recueillir et à traiter les informations décrites dans cette section.
Enfin, en cliquant sur les icônes dédiées aux réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, LinkedIn et Google Plus figurant sur le site et si l’Utilisateur accepte le dépôt de Cookies en poursuivant sa navigation sur le site ou l’application mobile de ces mêmes réseaux, alors ces derniers peuvent également déposer des Cookies sur son terminal.
Ces types de Cookies ne sont déposés qu’avec un consentement préalable, en continuant notamment la navigation sur le site ou application mobile. À tout moment, il peut annuler son consentement pour empêcher le dépôt de Cookies à postériori.
Le site https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/  utilise Google Analytics, un service d’analyse de sites Internet fourni par Google Inc. (« Google »).
Google Analytics utilise des Cookies pour aider le site et son Éditeur à analyser son utilisation et son audience en fonction des terminaux utilisés.
Les données générées par les Cookies concernant l’utilisation du site (y compris l’adresse IP des visiteurs) seront transmises et stockées par Google sur des serveurs situés aux États-Unis. Google utilisera cette information dans le but d’évaluer l’utilisation faite du site, de compiler des rapports sur son activité à destination de l’Éditeur et de fournir d’autres services relatifs notamment à l’utilisation d’Internet.
Google est susceptible de communiquer ces données à des tiers en cas d’obligation légale ou lorsque ces tiers traitent ces données pour le compte de Google, y compris notamment l’Éditeur du site. Google ne recoupera pas les adresses IP collectées avec toute autre donnée détenue par Google.
Il est possible de désactiver l’utilisation de Cookies en sélectionnant les paramètres appropriés du navigateur utilisé. Cependant, une telle désactivation pourrait empêcher l’utilisation de certaines fonctionnalités du site.
En navigant sur le site, l’Utilisateur consent expressément au traitement de ses données nominatives par Google dans les conditions et pour les finalités décrites ci-dessus.
Comment désactiver/supprimer les Cookies ?

  • Instructions sur Chrome Chrome (https://support.google.com/accounts/answer/61416?hl=fr)
  • Instructions sur Firefox (https://support.mozilla.org/fr/kb/activer-desactiver-cookies)
  • Instructions sur Internet Explorer / Edge (https://support.microsoft.com/fr-fr/help/17442/windows-internet-explorer-delete-manage-cookies)
  • Instructions sur Safari (Mac) (https://support.apple.com/kb/PH21411?locale=fr_FR)

Autres navigateurs : se reporter à l’aide en ligne du navigateur en question.

8.2. BALISES (“TAGS”) INTERNET

Le site https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/  peut exploiter occasionnellement des balises Internet (également appelées « tags », ou balises d’action, GIF à un pixel, GIF transparents, GIF invisibles et GIF un à un) et les déployer par l’intermédiaire d’un partenaire spécialiste d’analyses Web susceptible de se trouver (et donc de stocker les informations correspondantes, y compris l’adresse IP de l’Utilisateur) dans un pays étranger.
Ces balises sont placées à la fois dans les publicités en ligne permettant aux internautes d’accéder au site et sur les différentes pages de celui-ci.
Cette technologie permet d’évaluer les réponses des internautes face au site et l’efficacité de ses actions (par exemple, le nombre de fois où une page est ouverte et les informations consultées), ainsi que l’utilisation de ce site par l’Utilisateur.
Le prestataire externe pourra éventuellement recueillir des informations sur les Utilisateurs du site et d’autres sites externes grâce à ces balises, constituer des rapports sur l’activité du site, et fournir d’autres services relatifs à l’utilisation de celui-ci et d’Internet en général.

9. Droit applicable et attribution de juridiction

Tout litige en relation avec l’utilisation du site est soumis au droit Français . En dehors des cas où la loi ne le permet pas, il est fait attribution exclusive de juridiction aux tribunaux compétents de Paris .

Résolution des différends

Conseil de l’Ordre des Avocats :
En cas de différend lié à l’exercice de la profession d’avocat, vous pouvez contacter le Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris dont l’adresse est la suivante :
Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris
11, place Dauphine
75001 Paris
Téléphone : 01 44 32 47 48

Médiation de la consommation :
Conformément aux articles L. 612-1 et suivants du Code de la consommation, vous avez la possibilité, en cas de litige avec un avocat, de recourir gratuitement au médiateur de la consommation dont les coordonnées sont les suivantes :

Médiateur national de la consommation de la profession d’avocat
Adresse : CNB, 180 boulevard Haussmann, 75008 Paris
Site internet : https://mediateur-consommation-avocat.fr

Règlement en ligne des litiges :
En vertu de l’article 14 du Règlement (UE) n° 524/2013, la Commission européenne a mis en place une plateforme de règlement en ligne des litiges, facilitant le règlement extrajudiciaire des litiges entre consommateurs et professionnels de l’Union européenne. Cette plateforme est accessible à l’adresse suivante : https://ec.europa.eu/consumers/odr.

ПРАВНИ ИЗВЕСТИЯ

В съответствие с член 6 от Закон № 2004-575 от 21 юни 2004 г. за доверието в цифровата икономика, потребителите на уебсайта се уведомяват, че https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ самоличността на различните страни, участващи в неговото създаване и наблюдение:
Майстор Лиляна Бакайоко
FJ: член на Парижката адвокатска колегия, едноличен търговец

[ID]
[ID]

SIREN: 452740327 – 11 Boulevard de Sébastopol 75001 Paris Мениджър публикации: – 06 03 71 96 82 Отговорник по защита на данните – liliana.bakayoko[@]gmail.com Уебмастър: B-forbiz – 4 rue Emile Baudot 91120 Palaiseau – Телефон: 01 84 18 04 02 Домакин: SuperHosting – support@superhosting.bg – 36 Boulevard G.M. Dimitrov, 1797 Sofia, Bulgaria

Разрешаване на спорове

Адвокатски съвет: Ако имате спор, свързан с упражняването на адвокатската професия, можете да се обърнете къмАдвокатския съвет в Париж на следния адрес: Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris 11, place Dauphine 75001 Paris Телефон: 01 44 32 47 48

Посредничество пред потребителите: В съответствие с член L. 612-1 и следващите от френския Кодекс за защитана потребителите, ако имате спор с адвокат, можете да се обърнете безплатно към посредника на потребителите, чиито данни за контакт са следните:

Национален омбудсман за защита на потребителите при упражняване на адвокатска професия Адрес: CNB, 180 boulevard Haussmann, 75008 Paris Уебсайт: https://mediateur-consommation-avocat.fr

Онлайн решаване на спорове: Съгласно член 14 от Регламент (ЕС) № 524/2013 Европейската комисия създаде платформа за онлайн решаване на спорове с цел улесняване на извънсъдебното решаване на спорове между потребители и професионалисти в Европейския съюз.
Тази платформа е достъпна на следния адрес: https://ec.europa.eu/consumers/odr.

Защита на личните данни

В съответствие с изменения френски Закон за защита на данните от 6 януари 1978 г. и Общия регламент за защита на данните (ОРЗД) имате право на достъп, коригиране, изтриване, ограничаване и възразяване срещу обработката на вашите лични данни.

Можете да упражните тези права, като се свържете с: Име на адвоката: Лиляна Бакайоко Електронна поща: liliana.bakayoko@gmail.com

Политика за поверителност

Определения

Клиент: Всяко професионално или дееспособно физическо лице по смисъла на член 1123 и следващите от Френския граждански кодекс или юридическо лице, което посещава сайта, обхванат от настоящите Общи условия.
Редактор: Maître Liliana Bakayoko, собственик на уебсайта https://www.liliana-bakayoko-avocat.com/ .
Съдържание: Всички елементи, съставляващи информацията на сайта, по-специално текст, изображения и видеоклипове.
Информация за клиента: Наричана по-нататък „Информация(и)“, която съответства на всички лични данни, които могат да бъдат съхранявани от Издателя за управление на Вашия акаунт, управление на взаимоотношенията с клиенти и за анализ и статистически цели.
Потребител: интернет потребител, който използва гореспоменатия сайт и който в резултат на това генерира данни, които могат да бъдат използвани от Издателя, при условие че има предварително споразумение или логично съгласие.

Лична информация: „Информация, която позволява, под каквато и да е форма, пряко или непряко, да се идентифицират физическите лица, за които се отнася“ (член 4 от Закон № 78-17 от 6 януари 1978 г.). Термините „лични данни“, „субект на данни“, „обработващ лични данни“ и „чувствителни данни“ имат значението, определено от Общия регламент относно защитата на данните (ОРЗД: № 2016-679).

1. Общи условия за използване на сайта и предлаганите услуги

Уебсайтът https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ Сайтът представлява интелектуално произведение, защитено от разпоредбите на френския Кодекс за интелектуална собственост и приложимите международни разпоредби.
Клиентът няма право по никакъв начин да използва повторно, да прехвърля или да експлоатира за собствена сметка всички или част от елементите или произведенията на сайта. Използването на сайта предполага пълно и цялостно приемане на общите условия за ползване, описани по-долу.
Тези условия за ползване могат да бъдат изменяни или допълвани по всяко време и поради това на потребителите се препоръчва да се запознават редовно с тях. Сайтът по принцип е достъпен за потребителите по всяко време. Въпреки това Издателят може да реши да прекъсне работата на сайта с цел техническа поддръжка, като в този случай ще се постарае да информира предварително Потребителите за датите и часовете на намесата. По същия начин правните известия могат да бъдат променяни по всяко време: въпреки това те са задължителни за потребителя, който се приканва да ги преглежда възможно най-често, за да се запознае с тях.

2. Описание на предоставените услуги

Целта на уебсайта е да предоставя информация за всички дейности на кантората. Издателят се стреми да предоставя възможно най-точна информация.
Въпреки това той не може да носи отговорност за пропуски, неточности или неактуализиране на информацията, независимо дали те са по негова вина или по вина на партньори от трети страни, които предоставят информацията. Цялата информация, предоставена на сайта, е предоставена само с информативна цел и може да бъде променена. Тази информация не е изчерпателна. Те се предоставят при спазване на всички промени, които може да са били направени след публикуването им онлайн.

3. Договорни ограничения върху техническите данни

Сайтът използва технологията JavaScript. Сайтът не носи отговорност за материални щети, свързани с използването на сайта. Освен това Потребителят се задължава да осъществява достъп до сайта с помощта на най-ново, безвирусно оборудване и с актуален браузър от последно поколение. Уебсайтът https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/
се хоства от доставчик на услуги в Европейския съюз в съответствие с разпоредбите на Общия регламент относно защитата на данните (ОРЗД: № 2016-679). Целта е да се предостави услуга, която осигурява възможно най-доброто ниво на достъпност. Домакинът осигурява непрекъснатост на услугата 24 часа в денонощието, всеки ден от годината.
Въпреки това Издателят си запазва правото да прекъсне хостинг услугата за възможно най-кратък период от време, по-специално за целите на поддръжката, за подобряване на инфраструктурите си, в случай на повреда на инфраструктурата или ако Услугите генерират трафик, който се счита за необичаен. Издателят и хостът не носят отговорност в случай на неизправност на интернет мрежата, телефонните линии или компютърното и телефонното оборудване, по-специално поради претоварване на мрежата, което възпрепятства достъпа до сървъра.

4. Интелектуална собственост и фалшифициране

Maître Liliana Bakayoko е собственик на правата на интелектуална собственост и притежава правата за използване на всички елементи, достъпни на уебсайта, и по-специално на текстовете, изображенията, графиките, логата, видеоклиповете, иконите и звуците.
Всяко възпроизвеждане, представяне, промяна, публикуване, адаптиране на всички или на част от елементите на сайта, независимо от използваните средства или процеси, е забранено, освен с предварителното писмено съгласие на Maître Liliana Bakayoko. Всяко неразрешено използване на сайта или на някой от съдържащите се в него елементи ще се счита за нарушение и ще бъде преследвано в съответствие с разпоредбите на член L.335-2 и следващите от френския Кодекс за интелектуална собственост.

5. Ограничаване на отговорността

Като издател на https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ Лиляна Бакайоко носи отговорност за качеството и точността на съдържанието, което публикува. Издателят не може да носи отговорност за преки или косвени щети, причинени на оборудването на потребителя при достъпа до уебсайта, в резултат на използването на оборудване, което не отговаря на спецификациите, посочени в точка 3, или от появата на грешка или несъвместимост.
Редакторът не може да бъде държан отговорен за косвени вреди (например загуба на пазар или възможност), произтичащи от използването на сайта. На разположение на потребителите са интерактивни зони (възможност за задаване на въпроси в зоната за контакт). Редакторът си запазва правото да изтрие без предизвестие всяко съдържание, публикувано в това пространство, което противоречи на приложимото във Франция законодателство, и по-специално на разпоредбите, свързани със защитата на данните. Когато е приложимо, редакторът си запазва правото да подведе потребителя под гражданска и/или наказателна отговорност, особено в случай на съобщения с расистки, обиден, клеветнически или порнографски характер, независимо от използваното средство (текст, снимки и др.).

6. Управление на личните данни

Клиентът и Потребителят са информирани за разпоредбите относно маркетинговите комуникации, Закона от 21 юни 2014 г. за доверието в цифровата икономика, Закона за защита на данните от 6 август 2004 г. и Общия регламент за защита на данните (RGPD: № 2016-679).

6.1 Лице, отговорно за събирането на лични данни

За Личните данни, събрани като част от валидирането на формулярите и навигацията в сайта, лицето, отговорно за обработката на Личните данни, е: Адвокат Лилиана Бакайоко. Законният представител на сайта https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ е [ID]
в качеството си на управител. Като страна, отговорна за обработката на събраните от него данни, Издателят се задължава да спазва действащите правни разпоредби. По-специално, дружеството е отговорно да определи целите, за които се обработват неговите данни, да предостави на своите потенциални клиенти пълна информация за обработката на техните лични данни, след като е получено тяхното съгласие, и да поддържа точен регистър на тази обработка. Всеки път, когато Издателят обработва Лични данни чрез сайта. https://www.liliana-bakayoko-avocat.com/ той предприема всички разумни стъпки, за да гарантира, че Личните данни са точни и съответстват на целите, за които се обработват.

6.2 Вид, обработка и цел на събраните данни

Адвокат Лилиана Бакайоко може да обработва някои или всички от следните данни, някои от които са от съществено значение за правилното функциониране на онлайн услугите, предлагани на сайта https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ :

  • Обработване на данни за свързване, сърфиране и използване на сайта: за да се даде възможност за и/или подобряване на сърфирането в сайта,да се установи статистика на аудиторията, да се измери възвръщаемостта на инвестициите в маркетингови кампании за придобиване.

  • Самоличност и/или лични данни (титла, име и фамилия, възраст, тегло, описание на лична/професионална ситуация или проблем)
  • Обработка: Отговаряне на въпрос, предоставяне на оферта, онлайн записване на среща, спешно обаждане и др.
  • Технически данни за компютърното оборудване, използвано за сърфиране, IP адрес, идентификатор и парола (хеширана) за връзка със защитена зона.
  • Обработка:Сигурна комуникация с или от сайта, предотвратяване и борба с компютърни измами (спам, хакерство и др.).
  • Данни за контакт, като стационарен и/или мобилен телефонен номер, имейл адрес
  • Обработка: маркетингови кампании за лоялност по имейл или SMS.
  • Географски данни за типа пощенски адрес
  • Обработка: Показвайте позиция, определяйте зона за намеса или изчислявайте маршрут между две места.
  • Гласови данни (аудиозаписи)
  • Обработка:запазване на съобщение на автоматичен телефонен секретар в случай на отсъствие или недостъпност на телефонна линия или телефонна централа, така че съответното лице да може да се обади обратно.
  • Финансови данни, свързани с оферти, поръчки и продажби, направени чрез сайта
  • Обработване: за управление и осигуряване на проследимост на услугите, поръчани от Потребителите.

Всички данни се съхраняват за максимален срок от 12 месеца след събирането им или след края на договорните отношения между Потребителя и Издателя.Адвокат Лилиана Бакайоко не пуска на пазара Лични данни, които се използват само по необходимост, във връзка с описаната по-горе обработка и понякога, за целите на глобален статистически анализ.

6.3 Право на достъп, коригиране и възражение

В съответствие с действащите европейски разпоредби, потребителите на https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ имат следните права:

  • Право на достъп (член 15 от ОРЗД) и коригиране (член 16 от ОРЗД), актуализиране, пълнота на данните на Потребителите, право на блокиране или изтриване на личните данни на Потребителите (член 17 от ОРЗД), когато те са неточни, непълни, двусмислени, неактуални или чието събиране, използване, съобщаване или съхранение е забранено.
  • Право да оттеглите съгласието си по всяко време (член 13-2в от РДГП)
  • Право на ограничаване на обработката на данните на потребителите (член 18 от ОРЗД)
  • Право на възражение срещу обработката на данни на потребителите (член 21 от ОРЗД)
  • Правото на преносимост на данните, предоставени от Потребителите, когато тези данни подлежат на автоматизирана обработка въз основа на тяхното съгласие или договор (член 20 от ОРЗД).
  • Правото да определят какво ще се случи с данните на Потребителите след тяхната смърт и да изберат на кого Издателят да предаде (или не) техните данни на трета страна, посочена предварително от Издателя.

Веднага след като Издателят узнае за смъртта на Потребител и при липса на указания от страна на Потребителя, Издателят се задължава да унищожи данните на Потребителя, освен ако не е необходимо да запази тези данни за доказателствени цели или за спазване на правно задължение. Ако Потребителят желае да узнае как Издателят използва неговите/нейните лични данни, да поиска те да бъдат коригирани или да възрази срещу обработването им, той/тя може да се свърже с Длъжностното лице по защита на данните (ДЛЗД) в писмена форма на следния адрес:
Лиляна Бакайоко – DPO – Франция [ID]

11 Boulevard de Sébastopol, 75001 Paris В писмото си Потребителят трябва да посочи Личните данни, които желае да коригира, актуализира или изтрие, като се идентифицира точно с копие от документ за самоличност (лична карта или паспорт). Исканията за изтриване на Лични данни ще бъдат предмет на задълженията, наложени от закона, по-специално по отношение на съхранението или архивирането на документи. И накрая, Потребителите могат да подадат жалба до надзорните органи, по-специално до CNIL (https://www.cnil.fr/fr/plaintes).

6.4 Неразкриване на лични данни

Издателят няма да обработва, хоства или прехвърля Информацията, събрана от неговите Клиенти, в държава извън Европейския съюз или в държава, призната за „неадекватна“ от Европейската комисия, без предварително да е информирал Клиента. Въпреки това тя остава свободна да избира своите технически и търговски подизпълнители, при условие че те предлагат достатъчни гаранции по отношение на изискванията на Общия регламент относно защитата на данните (RGPD: № 2016-679).
Издателят се задължава да предприеме всички необходими предпазни мерки за защита на сигурността на информацията и по-специално да гарантира, че тя няма да бъде разкрита на неупълномощени лица. Въпреки това, ако Издателят узнае за инцидент, засягащ целостта или поверителността на Информацията на Клиента, той трябва да информира Клиента възможно най-скоро и да го информира за предприетите коригиращи мерки.

Освен това сайтът не събира никакви „чувствителни данни“. Личните данни на потребителите могат да бъдат обработвани от дъщерни дружества и подизпълнители на издателя (доставчици на услуги), изключително с цел постигане на целите на тази политика. В рамките на съответните им правомощия и за целите, посочени по-горе, основните лица, които могат да имат достъп до данните на потребителите на сайта, са, както следваhttps://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ сайта са главно работещите в отделите за управление, администрация и продажби.

Уведомяване за инцидент

Въпреки нашите усилия, нито един метод на предаване по интернет и нито един метод на електронно съхранение не е напълно сигурен. Поради това Издателят не може да гарантира абсолютна сигурност. Ако узнае за нарушение на сигурността, тя ще предупреди съответните потребители, за да могат те да предприемат подходящи мерки. Процедурите за уведомяване за инциденти отчитат правните задължения, независимо дали са на национално или европейско равнище.
Издателят се задължава да информира изцяло клиентите за всички въпроси, свързани със сигурността на техните данни, и да им предоставя цялата необходима информация, за да им помогне да изпълнят собствените си регулаторни задължения за докладване. Личната информация на потребителя не се публикува без негово знание, не се обменя, прехвърля или продава на какъвто и да е носител. Единствено закупуването наhttps://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ и правата върху него би позволило посочената информация да бъде предадена на всеки купувач, който от своя страна ще бъде обвързан със същото задължение за запазване и промяна на данните по отношение на Потребителя на сайта.

Защита

За да се гарантира сигурността и поверителността на Личните данни, Издателят и домакинът на сайта използват мрежи, защитени със стандартни устройства, като защитни стени, псевдонимизация, криптиране и защита с парола. При обработката на Личните данниАдвокат Лилиана Бакайоко предприема всички разумни мерки, за да ги защити от загуба, злоупотреба, неоторизиран достъп, разкриване, промяна или унищожаване.

8. Хипертекстови връзки, бисквитки и интернет тагове

Уебсайтът https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ Уебсайтът може да съдържа редица хипертекстови връзки към други уебсайтове. Редакторът обаче не е в състояние да проверява съдържанието на посещаваните по този начин сайтове и не поема никаква отговорност в това отношение.

8.1. „COOKIES

„Бисквитката“ е малък информационен файл, изпратен до браузъра на Потребителя и съхранен на терминала на Потребителя (компютър, таблет, мобилен телефон).
Този файл включва информация, като например името на домейна на Потребителя, доставчика на интернет услуги на Потребителя, операционната система на Потребителя и датата и часа на достъп.
Бисквитките по никакъв начин не могат да увредят терминала на Потребителя. Издателят може да обработва информация за посещението на Потребителя на сайта, като например разгледаните страници и извършените търсения.
Тази информация се използва, за да се подобри съдържанието на сайта и преживяването на Потребителя при сърфиране. Тъй като бисквитките улесняват сърфирането и/или предоставянето на услугите, предлагани от сайта, Потребителят може да конфигурира своя браузър така, че да му позволи да реши дали да ги приеме, така че бисквитките да се съхраняват на терминала или, напротив, да се отхвърлят, систематично или в зависимост от изпращача. Потребителите могат също така да конфигурират софтуера на браузъра си така, че да им бъде предлагана възможността да приемат или да откажат бисквитки от време на време, преди да е възможно бисквитка да бъде съхранена на техния терминал.
Издателят уведомява Потребителя, че в този случай не всички функции на неговия софтуер за браузър могат да бъдат достъпни. Ако Потребителят откаже да приеме „бисквитки“ на своя терминал или браузър, или ако Потребителят изтрие „бисквитките“, съхранени на неговия терминал или браузър, Потребителят е информиран, че неговото сърфиране и опит в сайта могат да бъдат ограничени. Такъв може да бъде и случаят, когато сайтът или някой от неговите доставчици на услуги не може да разпознае, с цел техническа съвместимост, вида на браузъра, използван от терминала, езика и настройките на дисплея или държавата, от която изглежда, че терминалът е свързан с интернет.
Когато е приложимо, Издателят отказва всякаква отговорност за последиците, свързани с влошеното функциониране на сайта и предлаганите услуги, произтичащи от отказа на Потребителя да приеме „бисквитките“ или от невъзможността на сайта да запише или провери „бисквитките“, необходими за тяхното функциониране, поради избора на Потребителя. Всеки браузър е конфигуриран по различен начин за управление на бисквитките и избора на потребителя. Това е описано в менюто за помощ на браузъра, където е посочено как потребителят може да промени желанията си по отношение на „бисквитките“.
По всяко време Потребителите могат да изберат да изразят и променят желанията си по отношение на „бисквитките“. Издателят може също така да използва услугите на външни доставчици на услуги, за да му помогнат да събира и обработва информацията, описана в този раздел.
И накрая, ако кликнете върху иконите, посветени на социални мрежи като Facebook, Twitter, LinkedIn и Google Plus, които се появяват на сайта, и ако Потребителят приеме депозирането на Бисквитки, като продължи да разглежда сайта или мобилното приложение на същите мрежи, тези мрежи също могат да депозират Бисквитки на терминала на Потребителя.
Тези видове „бисквитки“ се съхраняват само с предварително съгласие, по-специално като продължите да разглеждате уебсайта или мобилното приложение.
Те могат да оттеглят съгласието си по всяко време, за да предотвратят последващо депозиране на „бисквитки“. Сайтътhttps://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ използва Google Analytics, услуга за уеб анализ, предоставяна от Google Inc.

(„Google“). Google Analytics използва „бисквитки“, за да помогне на уебсайта и на неговия издател да анализират използването му и аудиторията му в зависимост от използваните терминали. Данните, генерирани от „бисквитките“ относно използването на уебсайта (включително IP адреса на посетителите), се предават и съхраняват от Google на сървъри, разположени в САЩ.
Google ще използва тази информация с цел оценка на използването на уебсайта, съставяне на отчети за дейността на уебсайта за операторите на уебсайтове и предоставяне на други услуги, свързани предимно с използването на интернет. Google може също така да предаде тази информация на трети страни, когато това се изисква по закон или когато тези трети страни обработват информацията от името на Google, включително по-специално операторите на уебсайтове.
Google няма да свързва събраните IP адреси с други данни, съхранявани от Google. Можете да откажете използването на бисквитки, като изберете съответните настройки на браузъра си, но имайте предвид, че ако го направите, може да не можете да използвате пълната функционалност на този уебсайт.
Такова деактивиране обаче може да попречи на използването на определени функционалности на сайта. Навигирайки в сайта, потребителят дава изричното си съгласие за обработката на личните му данни от Google при условията и за целите, описани по-горе.
Как мога да деактивирам/изтрия бисквитките?

  • Инструкции за Chrome Chrome (https://support.google.com/accounts/answer/61416?hl=fr)
  • Инструкции за Firefox (https://support.mozilla.org/fr/kb/activer-desactiver-cookies)
  • Инструкции за Internet Explorer / Edge (https://support.microsoft.com/fr-fr/help/17442/windows-internet-explorer-delete-manage-cookies)
  • Инструкции за Safari (Mac) (https://support.apple.com/kb/PH21411?locale=fr_FR)

Други браузъри: моля, обърнете се към онлайн помощта за съответния браузър.

8.2. ИНТЕРНЕТ ЕТИКЕТИ

Уебсайтът https://www.droit-affaires.liliana-bakayoko-avocat.com/ може понякога да използва уеб маяци (известни също като „тагове“, тагове за действие, еднопикселни GIF файлове, прозрачни GIF файлове, невидими GIF файлове и едно към едно GIF файлове) и да ги разполага чрез специализиран партньор за уеб анализ, който може да се намира (и следователно да съхранява съответната информация, включително IP адреса на Потребителя) в чужда държава.
Тези тагове се поставят както в онлайн рекламите, които позволяват на потребителите да получат достъп до сайта, така и на различните страници на сайта.
Тази технология дава възможност да се оценят реакциите на интернет потребителите към сайта и ефективността на действията им (например броят на отварянията на дадена страница и търсената информация), както и използването на този сайт от потребителя.
Външният доставчик на услуги може да събира информация за Потребителите на сайта и други външни сайтове, използвайки тези тагове, да съставя отчети за дейността на сайта и да предоставя други услуги, свързани с използването на сайта и интернет като цяло.

9. Приложимо право и юрисдикция

Всички спорове, свързани с използването на сайта, се уреждат от френското законодателство. Освен в случаите, когато законът не го позволява, компетентните съдилища в Париж имат изключителна юрисдикция.

Разрешаване на спорове

Адвокатски съвет: Ако имате спор, свързан с упражняването на адвокатската професия, можете да се обърнете къмАдвокатския съвет в Париж на следния адрес: Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris 11, place Dauphine 75001 Paris Телефон: 01 44 32 47 48

Посредничество пред потребителите: В съответствие с член L. 612-1 и следващите от френския Кодекс за защитана потребителите, ако имате спор с адвокат, можете да се обърнете безплатно към посредника на потребителите, чиито данни за контакт са следните:

Национален омбудсман за защита на потребителите при упражняване на адвокатска професия Адрес: CNB, 180 boulevard Haussmann, 75008 Paris Уебсайт: https://mediateur-consommation-avocat.fr

Онлайн решаване на спорове: Съгласно член 14 от Регламент (ЕС) № 524/2013 Европейската комисия създаде платформа за онлайн решаване на спорове с цел улесняване на извънсъдебното решаване на спорове между потребители и професионалисти в Европейския съюз. Тази платформа е достъпна на следния адрес: https://ec.europa.eu/consumers/odr.